
- France
Si on entre dans un bar sans pour autant avoir la gorge sèche, c’est bien parce que c’est la soif de liens sociaux qui nous fait passer la porte. Avec C’hoari, on ne compte plus la mousse, on libère les émotions. Ici, on danse comme avant, on sourit, on montre les dents. On se tamponne les coudes, on se déshabille du regard. On lâche prise, on se tient chaud, on cicatrise. Ici, on tisse le fil, on construit un rien, on crée du lien. On boit un coup, on se prend des coups mais à coup sûr on y revient.